• En mai, fais ce qu’il te plait ………. pas toujours petite pause durée indéterminée

    Et c’est avec plaisir que je ferai qq passages de temps en temps chez vous mes

    " aminautes " mais ne ferai pas d'articles. 

    Toute mon amitié , au plaisir de vous retrouver, prenez soin de vous. 

    Bertille

    Dommage que vous ne pouvez pas avoir le parfum subtil de ma glycine .

    A  BIENTÔT  MES  AMIS

     


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  • Aujourd’hui nous partons à :

    Locronan, l'un des plus beaux coins de France (Finistère)

    Des petites cités médiévales restées dans leur jus, des villages de granit fleuris dans un écrin foisonnant de nature, des bourgs encore largement habités par le passé… En Bretagne, difficile de nommer tous ces joyaux ruraux, tant la région en compte ! Locronan est chargé d’histoires et de merveilles dont on ne se lasse pas. Déambuler dans les ruelles vous donnerait l’impression de retourner au Moyen Âge, ou bien dans un film de cape et d’épée ! Cette petite cité de caractère sait très bien mettre en valeur son charme si particulier son architecture si atypique ou bien ses restaurants tous aussi bons les uns que les autres. 

     

    Locronan, une légende des siècles

     

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    Granit, ardoise, hortensia. La trinité bretonne est parfaitement respectée à Locronan, Loc Ronan ("le lieu de Ronan"). Le temps ne semble pas avoir d'emprise sur ce bourg au charme cinématographique. Rien d'étonnant dès lors à ce qu'il ait servi de décor à plusieurs films et téléfilms (Tess ; Chouans ! ; Un long dimanche de fiançailles  Sa célèbre Grand' place, bordée de maisons Renaissance de granit sombre, attire de nombreux visiteurs désireux de faire un saut dans le passé et pèlerins venus accomplir la troménie la plus célèbre de Bretagne.( La troménie est un type de pardon une calèche tirée par un cheval de trait breton, portant une grande statue de Notre-Dame de France, fera le tour de la Bretagne)

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    Au pied de sa « montagne », Locronan, bourg de Bretagne, bourdonne toujours d’activité. Belle lurette que les tisserands ne tiennent plus le haut du pavé. Granit, ardoise, hortensia, une trinité bretonne parfaitement respectée à Locronan. 

     

    Un lieu animé 

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    Ce bourg Breton, de sa célèbre Grand’Place aux ruelles bordées d’austères maisons Renaissance et jalonnées d’échoppes artisanales, s’anime toujours au rythme des hôtes de passage voulant faire un saut dans le passé et des pèlerins venant accomplir leur troménie. Ici, l'urbanisme est une notion héritée des siècles passés, ceux de la prospérité marchande et ceux de la ferveur religieuse.

    Située au croisement de deux anciennes voies romaines, position stratégique qui facilitera l'essor commercial de Loc Ronan ("le lieu de Ronan") et le développement d'un important pèlerinage. Ces voies sont le fruit d'une prospérité marchande basée sur le négoce de toiles de chanvre et de lin aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.

    Pas de pollution !

    Ils sont 800 à résider dans la petite cité de Locronan, qui accueille chaque année 400 000 visiteurs qui se pressent sur cette place de l’Église. Et nulle voiture, elles sont strictement parquées en dehors du village, pour ne pas troubler l’atmosphère.  

    Légende du village

    En bas de la place, le siège de la Compagnie des Indes avait pignon sur rue, tout comme le Bureau d'enregistrement royal des toiles. Avant de pousser les vantaux du vaste porche de l'église Saint-Ronan qui s'ouvre par un arc en plein cintre, penchez-vous comme tout visiteur à la margelle de puits.

     

    A ce point d'eau, le seul distribuant jadis de l'eau potable, est attachée une mystérieuse légende.

    Cette légende est rapportée avec un certain humour Un drôle de paroissien descendait régulièrement, botez-koad (sabot) aux pieds, au fond du puits. Y faisait-il pénitence ? Y entretenait-il quelques conversations avec les siens de l'autre monde ? Lorsque les villageois le remontaient à califourchon sur le seau, il restait muet...

     

    Photos du village qui a beaucoup de charme 

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    Locronan, un lieu mythique  dominé par la colline sacrée que le saint irlandais avait coutume de  gravir et où se déroule tous les six ans la Grande Troménie, pèlerinage millénaire de douze kilomètres que tout Breton croyant se doit d'avoir accompli dans sa vie. La Grande Troménie, n’a lieu que tous les 6 ans... Ce pèlerinage breton aux accents festifs est l’occasion de revivre la promenade qu’effectuait chaque matin saint Ronan, le fondateur du village, au Ve siècle. Il parcourait ce chemin pieds nus et l'estomac vide !

     

    L’ histoire religieuse de LOCRONAN

     

    Le sanctuaire édifié entre 1425 et 1480 par les seigneurs de Nevet, grâce aux donations des ducs de Bretagne (Jean V, Pierre II, François II), représente un bel ouvrage de l'art ogival flamboyant du XVe siècle, malheureusement amputé de sa haute flèche octogonale depuis 1808. Divisée en trois parties, la nef, éclairée par un chevet percé de trois baies flamboyantes, offre des dimensions de cathédrale (43 mètres de long), perspective encore allongée par la pente accentuée du pavage.

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    A l'intérieur, des retables, un baptistère à la cuve armoirée, une chaire (début XVIIIe siècle) décorée de médaillons sculptés retraçant la légende de Ronan.

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    Une grande verrière du XVe siècle figurant en dix-sept tableaux la Passion du Christ.

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    Retable N.D du Rosaire

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    Déploration de Christ datant de 1525 

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    N.D de la délivrance  calcaire polychrome 

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    Saint RONAN

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    Le tombeau du saint se trouve dans la chapelle communicante du Pénity. 

     

    Bâtie au début du XVIe siècle par Pierre Le Goaraguer, maître d’œuvre de la cathédrale de Quimper, elle fut confortablement dotée par la duchesse Anne qui vint en pèlerinage à l’emplacement de l’église primitive, priant pour être féconde. Peu de temps après naîtra Renée de France, fille cadette de Louis XII. Reposant sur six ailes sculptées d’« anges-cariatides », le gisant en haut-relief de saint Ronan (début XVe siècle), abrite ses reliques.

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                              Les vitraux dans la chapelle du Pénity

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    Dalle funéraire des seigneurs de Nevet ceux qui ont édifié le sanctuaire

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    Peinture sur bois : la vie de St RONAN 

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    Du parvis de l’église dévale la rue du Moal, étroite et pentue, menant au quartier autrefois populaire. Au XVIIIe siècle, on y comptait 250 maisons-ateliers de tisserands et logis sommaires appartenant aux marchands. En bas de la rue, le petit dôme de la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle émerge de la verdure.

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      Descente de croix en pierre du XVI ème S 

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     Il n'est pas étonnant qu'avec un décor historique pareil,  le village attire, de plus en plus de touristes, et également de nombreux réalisateurs qui y trouvent un lieu de tournage idéal pour leurs films historiques. Je souhaite que mon reportage dans ce magnifique village vous ait plu autant qu’a moi.

     

    Bonne journée à tous et que ce mois de mai qui débute vous soit agréable.

    Citation du 3 mai tiré de mon calendrier ZEN :

     '' Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d'un pas ferme ''

     

     

     

     

     

     

     


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    Les plus belles cascades du Jura

     

    Je sais que vous avez été sages aussi je vous offre aujourd'hui , les plus belles cascades du Jura Vous cherchez un peu de fraîcheur pour cet été ? Pourquoi ne pas aller piquer une tête dans les eaux du Jura lors de votre visite en Franche-Comté ? Découvrez les plus belles cascades de ce département riche de surprises.

     

    Cascade de Baume les Messieurs 

    POUR  CET  ÉTÉ

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    L’un des plus beaux villages de France  se déniche dans le massif du Jura au fond de la Reculée (formation géologique typique du Jura) de Baume-les-Messieurs. Vous pourrez par un sentier vous rendre au dessus de ces cascades alimentées par le Dard pour  vous baignez dans de petites baignoires naturelles. Et tout au dessus découvrir la Grotte de Baume-les-Messieurs.

     

     

     

    Cascade sortant de la grotte de baume-les-Messieurs 

     

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    La cascade est accessible en toutes saisons. En période pluvieuse, vous pourrez admirer la force de l'eau qui vous offre un spectacle tant visuel qu'auditif. En hiver, venez apprécier la magie qui s'en dégage. Sous l'effet du froid, l'eau se transforme en glace et laisse un paysage impressionnant.

    Cascade des Tufs

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    Découvrez non loin d’Arbois Capitale des Vins du Jura un paysage de reculée où l'eau s'infiltre dans un plateau, creuse une grotte  et ressurgit en cascade.
                         
    Alimentée par la Cuisance, elle prend sa source au cœur de la reculée des Planches et ressurgit par de nombreuses cavités, creusées dans le tuf, une roche calcaire d'origine sédimentaire (de là vient son nom de cascade des Tufs). Ces multiples sorties occasionnent plusieurs cascades qui tombent dans les bassins du Dar
     offrant un spectacle naturel  extraordinaire.
    Ce site accessible convient particulièrement aux familles.  Après avoir emprunté un sentier de randonnée et une passerelle, vous pourrez admirer les différents bassins. 

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    Comme nous étions seuls Phalco à fait sa petite baignade pour son plus grand plaisir 

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    Cascade du Hérisson

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    Au cœur de la région des lacs, le Hérisson prend sa source au Saut Girard. Ce torrent, formé des eaux des lacs de Bonlieu et d'Ilay, suit un parcours de 3,7 km pour un dénivelé de 805 m de hauteur et offre pas moins de 31 sauts et 7 cascades, les plus célèbres et plus impressionnantes de la région. La maison des cascades au début de la balade et du sentier livrent des informations sur l’économie qui était liée à la cascade et sur la faune et la flore propres au site. Sur le sentier des cascades, une borne permet de charger une application gratuite en réalité augmentée permettant de voir le moulin Jacquand se reconstruire sur son emplacement d'origine, et suivre le circuit de l'eau à travers les meules.   Aujourd'hui il en reste rien !!!

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                                         Cascade de l'éventail                           

                                     qui pour moi est la plus belle 

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     Belvédère en haut de la cascade

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    Le saut de la forge 

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    Saut du Gour Bleu 

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    Cascades et gorges de la Langouette 

    Arrivés aux cascades et gorges de la Langouette, on découvre un étroit et profond serpent d’eau, tour à tour tourbillon ou cascade. Un sentier aménagé et sécurisé permet (en 30 minutes environ) de remonter ce cours d’eau appelé «  La Saine » jusqu’au  moulin et au village des Planches-en-Montagne. La Haute Vallée de la Saine est, depuis septembre 2011, un site naturel classé au titre du code de l'environnement.

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                               40 mètres de hauteur, impressionnant !!!!!!!   

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    Cascades de la Billaude

    Les cascades de la Billaude ou Saut Claude Roy sont un des sites les plus pittoresques du Jura, au fond de la vallée encaissée de la Lemme. Deux chutes successives totalisant 28 m de hauteur jaillissent d'une fissure étroite au milieu des falaises.

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    Visiter ces cascades, c’est effectuer une randonnée en pleine nature qui, par ailleurs, vous permet d’admirer quelques vestiges historiques. En effet, la force motrice de l’eau a attiré des populations, durant près de sept siècles, pour forger des outils, moudre les grains… Les habitants utilisaient aussi les ressources naturelles locales, comme le chanvre, le minerai de fer, les céréales ou le bois. Lors de la balade, il faut écouter le murmure de l’eau au Gour Bleu, contempler les impressionnantes chutes du Saut de l’Éventail (65 m). Une belle sortie à faire pour se ressourcer et si possible hors saison lorsque les touristes ne sont pas encore là. J'ai la chance d'être tout près de ces lieux splendides pour en profiter . 

    Je vous souhaite à vous tous mes amis un bon weekend accompagné de petits bonheurs que l'on trouve dans la nature, donc accessibles à tous . A lundi 

     

                            Proverbe du 28 avril tiré de mon calendrier ZEN : 

     ''un moment de patience peut préserver de grands malheurs , un moment d'impatience ,détruire toute une vie ''                           

                                                      Proverbe chinois 

     

     


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    Sur le toit du Jura, la magie des grands espaces

     

    Dans le Haut-Jura, le silence est encore plus profond, les hivers plus rudes, et les traditions plus

     

    affirmées.

     

     

    Des Rousses jusqu’à l’Ain jurassien, je vous emmène à la découverte des Hautes-Combes, 

     

    ces hauts plateaux sauvages et désertés qui ondulent à 1 000 mètres d’altitude. 

     

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    En équilibre entre France et Suisse, les Rousses constituent un bon point de départ pour rayonner dans les montagnes du Jura. Cette station, qui compte quelque 50 kilomètres de pistes, est un immense terrain de jeu pour les skieurs l’hiver. Son lac aux eaux bleues devient,  lui, idéal aux beaux jours pour les sports nautiques.

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

     

    Grande adepte du Comté, il m’était impossible de venir aux Rousses sans visiter les caves d’affinage du Comté.  Ce fameux fort du XIXe siècle, accueille les caves d’affinage Juraflore : la température des galeries souterraines de ce vaste bâtiment militaire est parfaite pour les 45 000 meules de comté qui y vieillissent ! La visite se termine par une dégustation de Comté

     

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Porte d'entrée des hautes-combes 

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

     

    Au pied du crêt Pela, voici Lamoura, à l’orée de la forêt du Massacre, point de départ de la Transjurassienne, la célèbre course de ski de fond. Nous arrivons ensuite dans le petit village de moyenne montagne de Lajoux, sur la route du col de la Faucille (1 323 m) – col ouvert par Napoléon (route Paris-Milan) –, qui mène à Gex.   Le col est bien connu des amateurs de cyclisme : il a été escaladé à plus de quarante reprises par les coureurs du Tour de France. « Quand la Faucille brille, elle tranche », écrivait d’ailleurs Jacques Goddet,  patron du Tour, en référence à sa météo capricieuse.

    Mais Lajoux est aussi et surtout la porte d’entrée d’un territoire singulier peut-être l’un des endroits les plus fascinants du Jura. Sous nos yeux, se déroule un haut plateau à 1 000 mètres d’altitude de moyenne, tout en courbe. Le paysage ? Des prairies infinies qui ondulent dans le creux des combes, des crêts hérissés du vert des épicéas, des vaches montbéliardes.

     

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Règne du silence

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    En toile de fond, les hauts sommets du Jura, le Colomby de Gex (1 688 m) et le crêt de Chalam  (1 545 m)... Au fond de dépressions naturelles, quelques goyas, ces mares aménagées par l’homme, servent d’abreuvoirs aux vaches.

    L’hiver, l’endroit, enneigé, prend des allures de Grand Nord. Mais c’est surtout au printemps qu’il faut voir les Hautes-Combes, lorsque sa végétation explose et que les pâturages sont tachetés de violet, de jaune, de bleu, de blanc, tapissés de campanules, d’orchidées et de géraniums sauvages... Un petit éden.

    Ces fleurs de montagnes que j’appelle lupins sauvages, mais ce n’est certainement pas le nom exact

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Par endroits, on se croirait dans les grands espaces américains – d’ailleurs, on peut découvrir un élevage de bisons  à La Pesse !

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Les Hautes-Combes, c’est le règne du silence, de la nature préservée : au fil de ses nombreux chemins de randonnée, on peut ne croiser aucun humain. C’est l’endroit le moins peuplé du Jura. Les Moussières, Les Bouchoux,  La Pesse... On n’y rencontre que quelques hameaux, et surtout de vastes corps de fermes  isolés aux grands toits protecteurs, avec, non loin, des « greniers forts », ces petites cabanes en bois fortifiées, où les éleveurs entreposaient jadis leurs richesses : orge, cloches des vaches, avoine, papiers... Elles résistaient même au feu ! Défrichées à partir du XIVsiècle par les moines de l’abbaye de Saint-Claude, ces hautes terres, où la nature des sols et les conditions climatiques ne permettent pas l’agriculture céréalière, sont aujourd’hui encore essentiellement vouées à l’élevage de vaches laitières. On y fabrique des fromages – bleu de Septmoncel, comté, morbier, tomme, et les traditions sont encore bien vivaces. Qu’on pense aux tavaillonneurs, aux sangliers et aux lapidaires, ces tailleurs de pierres précieuses !

     

    Le métier de sanglier

     

    Le sanglier est l'artisan qui prélève des sangles sur les épicéas du Jura utilisées pour cercler le Mont d'Or afin de donner à ce fromage son goût si caractéristique.

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Sur la piste des dinosaures

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Passons La Pesse et la fameuse «  borne au lion  », érigée en 1613 pour marquer la séparation

    entre le royaume de France et la Bourgogne espagnole, pour pénétrer dans l’Ain. Les paysages

    jurassiens y sont plus boisés. Il faut voir le lac Genin qui surgit au fil de minuscules routes,

    comme un bout du monde à 830 mètres d’altitude, dissimulé dans un écrin de sapins. 

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Arrêtons-nous également à Plagne pour découvrir un lieu totalement insolite, perdu dans la

    forêt. Dans ce village se niche, au beau milieu de la forêt jurassienne, un lieu totalement insolite

    et encore méconnu du grand public. 

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    On y découvre une piste de près de 200 mètres de long avec une succession de trous mesurant jusqu’à 1,50 mètre de diamètre : ce sont tout simplement les plus grandes empreintes au monde de dinosaures ! Ces spectaculaires traces de pas inscrites dans la boue, et aujourd’hui gravées dans le calcaire, datent d’il y a environ 150 millions d’années. Elles ont été laissées par des dinosaures sauropodes, gigantesques herbivores à quatre pattes et au long cou, qui peuplaient la région Cette incroyable découverte a été effectuée le 5 avril 2009 par des membres de la Société des naturalistes d’Oyonnax. D’après les études en cours, les sauropodes de Plagne devaient dépasser les 30 mètres de longueur pour au moins 50 tonnes et progressaient à 5 km à l’heure environ.

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES  

     La gentiane du jura 

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Et nous terminons par le coucher de soleil 

    LA  MAGIE  DES  GRANDS  ESPACES

    Voilà mes amis les belles découvertes à faire dans ce  JURA que j’aime tant.

    Le Jura est synonyme de paysages hétéroclites : 

    forêts  verdoyantesespaces vallonnéslarges prairies, champs et pâturages abondants.

    Le Jura est un territoire de montagnes, abritant une faune et une flore d’exception 

    Le Jura regorge de secrets et d'informations plus intéressantes les unes que les autres.

     

     

    Belle journée à vous tous qui venez me visiter et si vous êtes bien sages , je vous ferai un article

    sur les plus belles cascades du JURA.

     

                               Petit conseil du 26 avril tiré de mon calendrier ZEN : 

    '' Fatigué de piétiner dans la file d'attente ?

    Fermez les yeux et concentrez-vous sur les muscles de vos jambes qui vous permettent de rester debout . Cela s'appelle la proprioception et ça détend '' 

     


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